Absolutely brilliant course. I have done a few courses on Coursera and this is the best so far. Michael Scharf is a great teacher and makes difficult topics easy to understand and the questions during the videos help you focus and show you which bits you should re-watch.

Would definitely recommend this.

This course gives a good introduction to international criminal law, showing in details the evolution of key principles and institutions. The readings , though details are a great resource for they keen to take deeper dives. The main concern , however is the sudden death approach that is used to evaluate the performance on the final examination. Preferably answers should not be binary, but provide the student with wide choice to gauge the degree to which performance on the exam truly measures knowledge acquired during the course (leaving little room for guess work, as it were).

This course helped me to learn various aspects of International law from practical and real-life cases. Prof. Michael Scharf was an amazing mentor throughout the course his teaching style, content, experiences, notes helped me to have a more than better understanding. Thank you for giving us this course as a golden opportunity to learn from Prof. Michael Scharf and learn about International Criminal Law. this Course will teach about the origin of international law, cases, trails, how to prepare your defences, maintenance of courtroom decorum as a judge, foreign policies, how countries deal with different treaties. overall this was an amazing journey participate in online simulations have the notes provided and you will be clear about all aspects. GO FOR IT!

The lectures and readings dovetail perfectly and take you through a very organized introduction to international criminal law. Even someone without a law background but a strong interest in international matters can understand and learn mountains from this course! Only half way through the course, and I already understand things I hear on the news about international matters, the UN, terrorism, etc. with new eyes and ears. I recommend this very high-quality course wholeheartedly.

DOY LAS GRACIAS AL PROFR. MICHAEL POR DARME LA OPORTUNIDAD DE PERMITIRME REGISTRARME A ESTE CURSO QUE SI ES MUY IMPORTANTE PARA MI, POR QUE CREO QUE ME EQUIVOQUE DE PROFESION POR QUE DE ACUERDO A MI PERSONALIDAD NO ME GUSTAS LAS INJUSTICIAS Y CONSIDERO APRENDER MAS PARA TENER LAS HERRAMIENTAS PARA DEFENDER A QUIEN LO NECESITE. CREAME QUE APRENDI MUCHO Y SEGUIRE HACIENDOLO. POR QUE ME FALTA MUCHO POR APRENDER

MUCHAS GRACIAS !

I really enjoyed this course. I am an Italian philosophy student so I had no previous knowledge of law or the court system. Nonetheless, this course gave me a fantastic overview of International Law, human rights, and moral issues. Each lesson was interesting and engaging thanks to professor Scharf. Also, the material was plentiful and accurate. I definitely recommend it!

Great course, resourceful with many examples from international criminal tribunals that helps students to get a better understanding of how international law is implemented across different case!

Excelente curso!!

The professor, Michael Scharf, seems to have a heavy bias to "justice" (as in punishment) and that leaves me with a poor taste as I listen to his content. I found an error in content that bothered me but did not interfere with the main points of the course. Overall I'm happy with the understanding of International Criminal Law that I have gained, though I am displeased with the biases I found in the professor.

Ofrecen el curso para hispanohablantes sin embargo las lecturas solo están disponibles en ingles. Si ofrecen algo cumplanlo en su totalidad NO a medias.

can you please help me to unenroll?

the lectures were too long

Perfect course.

ificate

,n

Bonjour à tous, je m'appelle Muharrem Shabani, je suis Political, Economic and Social Affairs Officer ainsi que Professor of Balkans' History and Geopolitics à l'Higher Institute of Management et Swiss Tourism. Je suis également l'Ambassadeur du Kosovo et Ambassadeur pour la Paix - Liaison Office to the United Permanent Representative à Genève, New York et Vienne, et Président & Fondateur de la Mission SKUN Swiss Foundation for Kosovo UN Recognition. Vous pouvez en savoir plus sur cette mission à travers le site SKUN Foundation. Je viens du Kosovo, et mon parcours se situe dans les domaines de la politique internationale, des affaires économiques et sociales, ainsi que dans l'enseignement de l'histoire et de la géopolitique des Balkans. J'ai décidé de suivre ce cours pour approfondir mes connaissances et compétences dans le domaine des organisations internationales, particulièrement en ce qui concerne les relations et la diplomatie mondiales. Je suis convaincu que ce cours me permettra de renforcer mes capacités dans l'analyse géopolitique et internationale, et j'espère pouvoir appliquer ces connaissances à mes responsabilités actuelles en tant qu'ambassadeur et dirigeant de la fondation SKUN. J'attends également d'apprendre de mes camarades de classe et de partager nos expériences respectives. En termes d'attentes, je suis particulièrement intéressé par l'étude des partenariats internationaux, de la diplomatie et de la gouvernance mondiale. J'espère pouvoir échanger des idées avec d'autres étudiants passionnés par ces sujets et découvrir de nouvelles perspectives. Je serais ravi de discuter de questions liées à la diplomatie internationale, aux enjeux géopolitiques des Balkans ou à toute autre collaboration future. Si quelqu'un est intéressé par ces sujets ou souhaite créer un groupe d'étude, n'hésitez pas à me contacter ! Je suis impatient de travailler avec vous tous et de tirer parti de cette opportunité d'apprentissage collective. stp tu peux ajoutes Les États préfèrent souvent l'arbitrage au règlement judiciaire pour plusieurs raisons. L'arbitrage offre une plus grande flexibilité et confidentialité que les procédures judiciaires classiques. En effet, les États peuvent choisir leurs arbitres, qui sont des experts dans le domaine spécifique du différend, ce qui peut conduire à une résolution plus rapide et plus technique. De plus, l'arbitrage permet d'éviter les lourdeurs administratives des juridictions internationales permanentes. Contrairement au règlement judiciaire, qui peut parfois être perçu comme plus rigide et susceptible d’impliquer des instances longues et complexes, l’arbitrage est perçu comme plus efficient. Cependant, l'arbitrage n'est pas sans ses inconvénients, comme le coût élevé et le manque de pouvoir exécutif dans certains cas. En somme, les États choisissent l'arbitrage pour sa souplesse, sa rapidité et la possibilité d'éviter une procédure judiciaire publique et formelle. Le cas présenté dans le cadre de la Cour pénale internationale (CPI) soulève des questions complexes sur la responsabilité pénale individuelle, les crimes contre l'humanité, les crimes de guerre et les principes de la justice pénale internationale. Voici mon avis basé sur l'examen des faits et des décisions qui semblent être au centre de chaque question posée : Le cas présenté dans le cadre de la Cour pénale internationale (CPI) soulève des questions complexes sur la responsabilité pénale individuelle, les crimes contre l'humanité, les crimes de guerre et les principes de la justice pénale internationale. Voici mon avis basé sur l'examen des faits et des décisions qui semblent être au centre de chaque question posée : 1. Compétence de la CPI Analyse : La CPI a compétence pour juger les crimes internationaux commis sur le territoire des États parties au Statut de Rome. Dans ce cas, la République de Stoker a ratifié le Statut de Rome, ce qui lui confère la compétence de la CPI pour juger les crimes qui s'y produisent. Bien que l'État de Shelly ne soit pas partie au Statut de Rome, la CPI conserve la compétence pour juger des crimes commis par ses citoyens sur le territoire d'un État partie, ce qui justifie l'engagement du procès. Conclusion : La compétence de la CPI est correctement établie. 2. Responsabilité pénale des accusés (Renfeld, Murray, Ratray) Analyse : Les accusations contre Renfeld, Murray et Ratray concernent des crimes contre l'humanité, notamment les arrestations massives et les meurtres de vampires. La Chambre de première instance a correctement interprété l'absence de distinction entre civils et membres de la milice et a considéré que la participation à une entreprise criminelle commune était constitutive de crimes contre l'humanité. Conclusion : La responsabilité pénale des accusés semble légitime. 3. Obéissance aux ordres et défense de contrainte Analyse : La défense d’obéissance aux ordres est souvent rejetée dans des cas de crimes contre l’humanité, car l’ordre doit être légal pour être exécuté. Un ordre manifestement illégal, comme l'exécution de prisonniers non armés, ne justifie pas la commission d’un crime. La contrainte, en revanche, n’est pas une défense valable pour les crimes contre l’humanité, sauf dans des circonstances exceptionnelles où il y a une menace immédiate et imminente de violence. Conclusion : La Chambre a eu raison de rejeter ces défenses. 4. Destruction d’un site historique et culturel (la cathédrale des Carpates) Analyse : La destruction de sites protégés par les Conventions de Genève, comme les lieux religieux et culturels, est un crime de guerre. Le fait que la cathédrale ait été utilisée par l'ennemi n'excuse pas cette destruction. La décision de la Chambre semble juste au regard du droit international humanitaire. Conclusion : La responsabilité pénale du lieutenant Ratray pour ce crime est justifiée. 5. Traitement des prisonniers de guerre Analyse : Le fait de nourrir de force des prisonniers de guerre, en particulier en utilisant des méthodes comme le waterboarding ou l'alimentation forcée, constitue un traitement cruel, inhumain et dégradant, ce qui en fait un crime de guerre. L'ordre donné par le lieutenant Ratray semble en violation des Conventions de Genève. Conclusion : La responsabilité pénale du lieutenant Ratray pour ce crime de guerre est fondée. 6. Enlèvement de Vladimir l'Empaleur Analyse : L’enlèvement de Vladimir Impaler par les autorités de Stoker, sans l’accord de l'État de Shelly, constitue une violation de la souveraineté de cet État. Cependant, en raison de la menace imminente de la "bombe sale", l'ampleur du danger et l'importance de prévenir une catastrophe peuvent justifier certaines actions dans un cadre de lutte contre le terrorisme, bien que cela puisse aussi être critiqué. Conclusion : L'affirmation de la Chambre concernant l'enlèvement d'Impaler semble discutable en fonction de la souveraineté, mais en regard de la menace à venir, l'infraction peut être justifiée au regard de la nécessité. 7. Auto-représentation et droit à la défense Analyse : Le droit à l'auto-représentation doit être équilibré par le besoin de maintenir l'ordre et la procédure. Si un accusé perturbe le procès, la Cour a le droit de limiter son comportement et de lui désigner un avocat d'office. Cela semble être une mesure proportionnée pour assurer un procès équitable. Conclusion : La décision de la Chambre de révoquer l'auto-représentation d'Impaler semble justifiée. 8. Admissibilité de l'enregistrement audio Analyse : L'enregistrement audio a été obtenu sous la contrainte de méthodes de torture (waterboarding), ce qui soulève des préoccupations concernant sa légalité et sa conformité avec les droits humains. Toutefois, l'utilisation d'une telle preuve, si elle est essentielle pour prouver les faits, pourrait être justifiée dans des situations exceptionnelles, mais le principe de non-admissibilité des preuves obtenues par la torture devrait en théorie prévaloir. Conclusion : L’admission de l’enregistrement pourrait être problématique d’un point de vue éthique et légal. 9. Accord de plaidoyer de Murray Analyse : L'accord de plaidoyer, si correctement encadré et dans le respect des règles de la CPI, peut être une stratégie légitime pour encourager la coopération avec la justice. La réduction de peine en échange de témoignages est souvent utilisée pour permettre une meilleure administration de la justice, bien qu’elle puisse être vue comme une forme de "complot". Conclusion : La confirmation de l’accord de plaidoyer semble conforme à la pratique judiciaire internationale. Conclusion générale : L'affaire traite de plusieurs questions cruciales du droit international pénal, de la responsabilité des individus dans des crimes graves, et de la manière dont la CPI applique les normes en matière de droits humains et de justice. Dans l’ensemble, la Cour semble avoir pris des décisions justifiées sur le plan du droit international, même si certains aspects, notamment l’enlèvement et l’admissibilité de preuves obtenues sous la torture, soulèvent des préoccupations. L’introduction au droit est une discipline fondamentale qui permet de comprendre les bases du système juridique, ses principes, ses règles, et son rôle dans la société. Elle sert de point de départ pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances en droit et s’engager dans des études juridiques plus avancées. Voici un aperçu des concepts clés à aborder dans une introduction au droit : 1. Qu’est-ce que le droit ? Le droit peut être défini comme l’ensemble des règles et des normes qui régissent la vie en société. Ces règles sont établies par des autorités compétentes (comme les législateurs ou les tribunaux) et ont pour objectif de garantir l’ordre, la justice et la protection des individus. Le droit touche tous les aspects de la vie sociale, économique et politique, en régissant notamment les relations entre individus, entre individus et l'État, ainsi que celles entre les États. 2. Les sources du droit Les sources du droit sont les mécanismes par lesquels les règles juridiques sont créées, modifiées ou abrogées. Les principales sources du droit sont : La Constitution : La norme suprême d’un pays, qui fixe l’organisation de l’État, les droits et libertés fondamentaux. Les lois : Ce sont des règles écrites adoptées par le législateur (parlement). Elles sont souvent complétées par des règlements, décrets ou ordonnances. La jurisprudence : Les décisions rendues par les tribunaux, qui interprètent et appliquent les lois dans des cas concrets. La coutume : Les pratiques et usages sociaux qui, par leur répétition, finissent par acquérir une force obligatoire. Les traités internationaux : Accords entre États qui ont force obligatoire, comme les conventions ou accords internationaux. 3. Les branches du droit Le droit est divisé en plusieurs branches, chacune régissant un domaine particulier. Parmi les principales branches du droit, on trouve : Le droit civil : Régit les relations entre particuliers, notamment les contrats, les biens, la famille, et les successions. Le droit pénal : Traite des infractions et des peines, en définissant les comportements criminels et les sanctions correspondantes. Le droit administratif : Organise les relations entre l’État et les citoyens ainsi que l’action des administrations publiques. Le droit constitutionnel : Étudie les principes fondamentaux de l’organisation politique d’un État et les droits et libertés des citoyens. Le droit international : Traite des relations juridiques entre les États et autres entités internationales, telles que les organisations internationales. Le droit commercial : Régit les relations juridiques liées aux activités commerciales et aux entreprises. 4. Les principes du droit Le droit repose sur un certain nombre de principes fondamentaux qui en assurent l’application juste et équitable. Parmi ces principes, on peut citer : La légalité : Les actions des individus doivent être conformes à la loi. L’égalité devant la loi : Tous les individus, qu’ils soient citoyens ou étrangers, doivent être traités de manière égale devant la loi. La non-rétroactivité de la loi : Une loi ne peut pas s’appliquer à des faits commis avant son adoption, sauf si elle est plus favorable à l’individu. La présomption d’innocence : Toute personne accusée d’un crime est présumée innocente tant qu’elle n’a pas été prouvée coupable. 5. Les acteurs du droit Plusieurs acteurs jouent un rôle important dans l’application et l’interprétation du droit : Les législateurs : Les parlementaires ou autres autorités compétentes qui créent les lois. Les juges : Ils interprètent et appliquent les lois aux affaires qui leur sont soumises. Les avocats : Ils conseillent et représentent les parties en conflit devant les juridictions compétentes. Les policiers et les gendarmes : Ils sont chargés de faire respecter la loi en assurant la sécurité publique et en intervenant lors de la commission d’infractions. 6. La procédure judiciaire La procédure judiciaire désigne l’ensemble des règles qui régissent la manière dont une affaire est traitée devant une juridiction. Cette procédure varie selon le type de litige (civil, pénal, administratif, etc.), mais suit généralement un cadre structuré : La plainte ou la demande : Une personne engage une action en justice. L’instruction : Les preuves sont collectées, les témoignages sont entendus. Le jugement : Les juges rendent une décision en fonction des faits et des règles de droit. Les voies de recours : Les parties peuvent contester le jugement rendu en faisant appel ou en introduisant un pourvoi. 7. L'importance du droit dans la société Le droit est essentiel à la cohésion sociale. Il assure la protection des droits individuels et collectifs, garantit la sécurité juridique, régule les relations économiques et sociales, et permet de résoudre les conflits pacifiquement. Sans le droit, il serait difficile de maintenir l'ordre social et d’assurer la justice pour tous. Conclusion L’introduction au droit nous permet de comprendre que le droit est un pilier fondamental de toute société organisée. Il assure la régulation des relations humaines, protège les libertés individuelles et collectives et permet la résolution des conflits. À travers l’étude du droit, on apprend à comprendre et à appliquer les règles qui régissent la vie en société. Pour toute personne intéressée par le domaine juridique, il s’agit d’une première étape cruciale dans la compréhension du fonctionnement des institutions et de la justice.1. Compétence de la CPI Analyse : La CPI a compétence pour juger les crimes internationaux commis sur le territoire des États parties au Statut de Rome. Dans ce cas, la République de Stoker a ratifié le Statut de Rome, ce qui lui confère la compétence de la CPI pour juger les crimes qui s'y produisent. Bien que l'État de Shelly ne soit pas partie au Statut de Rome, la CPI conserve la compétence pour juger des crimes commis par ses citoyens sur le territoire d'un État partie, ce qui justifie l'engagement du procès. Conclusion : La compétence de la CPI est correctement établie. 2. Responsabilité pénale des accusés (Renfeld, Murray, Ratray) Analyse : Les accusations contre Renfeld, Murray et Ratray concernent des crimes contre l'humanité, notamment les arrestations massives et les meurtres de vampires. La Chambre de première instance a correctement interprété l'absence de distinction entre civils et membres de la milice et a considéré que la participation à une entreprise criminelle commune était constitutive de crimes contre l'humanité. Conclusion : La responsabilité pénale des accusés semble légitime. 3. Obéissance aux ordres et défense de contrainte Analyse : La défense d’obéissance aux ordres est souvent rejetée dans des cas de crimes contre l’humanité, car l’ordre doit être légal pour être exécuté. Un ordre manifestement illégal, comme l'exécution de prisonniers non armés, ne justifie pas la commission d’un crime. La contrainte, en revanche, n’est pas une défense valable pour les crimes contre l’humanité, sauf dans des circonstances exceptionnelles où il y a une menace immédiate et imminente de violence. Conclusion : La Chambre a eu raison de rejeter ces défenses. 4. Destruction d’un site historique et culturel (la cathédrale des Carpates) Analyse : La destruction de sites protégés par les Conventions de Genève, comme les lieux religieux et culturels, est un crime de guerre. Le fait que la cathédrale ait été utilisée par l'ennemi n'excuse pas cette destruction. La décision de la Chambre semble juste au regard du droit international humanitaire. Conclusion : La responsabilité pénale du lieutenant Ratray pour ce crime est justifiée. 5. Traitement des prisonniers de guerre Analyse : Le fait de nourrir de force des prisonniers de guerre, en particulier en utilisant des méthodes comme le waterboarding ou l'alimentation forcée, constitue un traitement cruel, inhumain et dégradant, ce qui en fait un crime de guerre. L'ordre donné par le lieutenant Ratray semble en violation des Conventions de Genève. Conclusion : La responsabilité pénale du lieutenant Ratray pour ce crime de guerre est fondée. 6. Enlèvement de Vladimir l'Empaleur Analyse : L’enlèvement de Vladimir Impaler par les autorités de Stoker, sans l’accord de l'État de Shelly, constitue une violation de la souveraineté de cet État. Cependant, en raison de la menace imminente de la "bombe sale", l'ampleur du danger et l'importance de prévenir une catastrophe peuvent justifier certaines actions dans un cadre de lutte contre le terrorisme, bien que cela puisse aussi être critiqué. Conclusion : L'affirmation de la Chambre concernant l'enlèvement d'Impaler semble discutable en fonction de la souveraineté, mais en regard de la menace à venir, l'infraction peut être justifiée au regard de la nécessité. 7. Auto-représentation et droit à la défense Analyse : Le droit à l'auto-représentation doit être équilibré par le besoin de maintenir l'ordre et la procédure. Si un accusé perturbe le procès, la Cour a le droit de limiter son comportement et de lui désigner un avocat d'office. Cela semble être une mesure proportionnée pour assurer un procès équitable. Conclusion : La décision de la Chambre de révoquer l'auto-représentation d'Impaler semble justifiée. 8. Admissibilité de l'enregistrement audio Analyse : L'enregistrement audio a été obtenu sous la contrainte de méthodes de torture (waterboarding), ce qui soulève des préoccupations concernant sa légalité et sa conformité avec les droits humains. Toutefois, l'utilisation d'une telle preuve, si elle est essentielle pour prouver les faits, pourrait être justifiée dans des situations exceptionnelles, mais le principe de non-admissibilité des preuves obtenues par la torture devrait en théorie prévaloir. Conclusion : L’admission de l’enregistrement pourrait être problématique d’un point de vue éthique et légal. 9. Accord de plaidoyer de Murray Analyse : L'accord de plaidoyer, si correctement encadré et dans le respect des règles de la CPI, peut être une stratégie légitime pour encourager la coopération avec la justice. La réduction de peine en échange de témoignages est souvent utilisée pour permettre une meilleure administration de la justice, bien qu’elle puisse être vue comme une forme de "complot". Conclusion : La confirmation de l’accord de plaidoyer semble conforme à la pratique judiciaire internationale. Conclusion générale : L'affaire traite de plusieurs questions cruciales du droit international pénal, de la responsabilité des individus dans des crimes graves, et de la manière dont la CPI applique les normes en matière de droits humains et de justice. Dans l’ensemble, la Cour semble avoir pris des décisions justifiées sur le plan du droit international, même si certains aspects, notamment l’enlèvement et l’admissibilité de preuves obtenues sous la torture, soulèvent des préoccupation L’introduction au droit est une discipline fondamentale qui permet de comprendre les bases du système juridique, ses principes, ses règles, et son rôle dans la société. Elle sert de point de départ pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances en droit et s’engager dans des études juridiques plus avancées. Voici un aperçu des concepts clés à aborder dans une introduction au droit : 1. Qu’est-ce que le droit ? Le droit peut être défini comme l’ensemble des règles et des normes qui régissent la vie en société. Ces règles sont établies par des autorités compétentes (comme les législateurs ou les tribunaux) et ont pour objectif de garantir l’ordre, la justice et la protection des individus. Le droit touche tous les aspects de la vie sociale, économique et politique, en régissant notamment les relations entre individus, entre individus et l'État, ainsi que celles entre les États. 2. Les sources du droit Les sources du droit sont les mécanismes par lesquels les règles juridiques sont créées, modifiées ou abrogées. Les principales sources du droit sont : La Constitution : La norme suprême d’un pays, qui fixe l’organisation de l’État, les droits et libertés fondamentaux. Les lois : Ce sont des règles écrites adoptées par le législateur (parlement). Elles sont souvent complétées par des règlements, décrets ou ordonnances. La jurisprudence : Les décisions rendues par les tribunaux, qui interprètent et appliquent les lois dans des cas concrets. La coutume : Les pratiques et usages sociaux qui, par leur répétition, finissent par acquérir une force obligatoire. Les traités internationaux : Accords entre États qui ont force obligatoire, comme les conventions ou accords internationaux. 3. Les branches du droit Le droit est divisé en plusieurs branches, chacune régissant un domaine particulier. Parmi les principales branches du droit, on trouve : Le droit civil : Régit les relations entre particuliers, notamment les contrats, les biens, la famille, et les successions. Le droit pénal : Traite des infractions et des peines, en définissant les comportements criminels et les sanctions correspondantes. Le droit administratif : Organise les relations entre l’État et les citoyens ainsi que l’action des administrations publiques. Le droit constitutionnel : Étudie les principes fondamentaux de l’organisation politique d’un État et les droits et libertés des citoyens. Le droit international : Traite des relations juridiques entre les États et autres entités internationales, telles que les organisations internationales. Le droit commercial : Régit les relations juridiques liées aux activités commerciales et aux entreprises. 4. Les principes du droit Le droit repose sur un certain nombre de principes fondamentaux qui en assurent l’application juste et équitable. Parmi ces principes, on peut citer : La légalité : Les actions des individus doivent être conformes à la loi. L’égalité devant la loi : Tous les individus, qu’ils soient citoyens ou étrangers, doivent être traités de manière égale devant la loi. La non-rétroactivité de la loi : Une loi ne peut pas s’appliquer à des faits commis avant son adoption, sauf si elle est plus favorable à l’individu. La présomption d’innocence : Toute personne accusée d’un crime est présumée innocente tant qu’elle n’a pas été prouvée coupable. 5. Les acteurs du droit Plusieurs acteurs jouent un rôle important dans l’application et l’interprétation du droit : Les législateurs : Les parlementaires ou autres autorités compétentes qui créent les lois. Les juges : Ils interprètent et appliquent les lois aux affaires qui leur sont soumises. Les avocats : Ils conseillent et représentent les parties en conflit devant les juridictions compétentes. Les policiers et les gendarmes : Ils sont chargés de faire respecter la loi en assurant la sécurité publique et en intervenant lors de la commission d’infractions. 6. La procédure judiciaire La procédure judiciaire désigne l’ensemble des règles qui régissent la manière dont une affaire est traitée devant une juridiction. Cette procédure varie selon le type de litige (civil, pénal, administratif, etc.), mais suit généralement un cadre structuré : La plainte ou la demande : Une personne engage une action en justice. L’instruction : Les preuves sont collectées, les témoignages sont entendus. Le jugement : Les juges rendent une décision en fonction des faits et des règles de droit. Les voies de recours : Les parties peuvent contester le jugement rendu en faisant appel ou en introduisant un pourvoi. 7. L'importance du droit dans la société Le droit est essentiel à la cohésion sociale. Il assure la protection des droits individuels et collectifs, garantit la sécurité juridique, régule les relations économiques et sociales, et permet de résoudre les conflits pacifiquement. Sans le droit, il serait difficile de maintenir l'ordre social et d’assurer la justice pour tous. Conclusion L’introduction au droit nous permet de comprendre que le droit est un pilier fondamental de toute société organisée. Il assure la régulation des relations humaines, protège les libertés individuelles et collectives et permet la résolution des conflits. À travers l’étude du droit, on apprend à comprendre et à appliquer les règles qui régissent la vie en société. Pour toute personne intéressée par le domaine juridique, il s’agit d’une première étape cruciale dans la compréhension du fonctionnement des institutions et de la justice Something went wrong, please try reloading the conversation. 3/3 Le cas présenté dans le cadre de la Cour pénale internationale (CPI) soulève des questions complexes sur la responsabilité pénale individuelle, les crimes contre l'humanité, les crimes de guerre et les principes de la justice pénale internationale. Voici mon avis basé sur l'examen des faits et des décisions qui semblent être au centre de chaque question posée : 1. Compétence de la CPI Analyse : La CPI a compétence pour juger les crimes internationaux commis sur le territoire des États parties au Statut de Rome. Dans ce cas, la République de Stoker a ratifié le Statut de Rome, ce qui lui confère la compétence de la CPI pour juger les crimes qui s'y produisent. Bien que l'État de Shelly ne soit pas partie au Statut de Rome, la CPI conserve la compétence pour juger des crimes commis par ses citoyens sur le territoire d'un État partie, ce qui justifie l'engagement du procès. Conclusion : La compétence de la CPI est correctement établie. 2. Responsabilité pénale des accusés (Renfeld, Murray, Ratray) Analyse : Les accusations contre Renfeld, Murray et Ratray concernent des crimes contre l'humanité, notamment les arrestations massives et les meurtres de vampires. La Chambre de première instance a correctement interprété l'absence de distinction entre civils et membres de la milice et a considéré que la participation à une entreprise criminelle commune était constitutive de crimes contre l'humanité. Conclusion : La responsabilité pénale des accusés semble légitime. 3. Obéissance aux ordres et défense de contrainte Analyse : La défense d’obéissance aux ordres est souvent rejetée dans des cas de crimes contre l’humanité, car l’ordre doit être légal pour être exécuté. Un ordre manifestement illégal, comme l'exécution de prisonniers non armés, ne justifie pas la commission d’un crime. La contrainte, en revanche, n’est pas une défense valable pour les crimes contre l’humanité, sauf dans des circonstances exceptionnelles où il y a une menace immédiate et imminente de violence. Conclusion : La Chambre a eu raison de rejeter ces défenses. 4. Destruction d’un site historique et culturel (la cathédrale des Carpates) Analyse : La destruction de sites protégés par les Conventions de Genève, comme les lieux religieux et culturels, est un crime de guerre. Le fait que la cathédrale ait été utilisée par l'ennemi n'excuse pas cette destruction. La décision de la Chambre semble juste au regard du droit international humanitaire. Conclusion : La responsabilité pénale du lieutenant Ratray pour ce crime est justifiée. 5. Traitement des prisonniers de guerre Analyse : Le fait de nourrir de force des prisonniers de guerre, en particulier en utilisant des méthodes comme le waterboarding ou l'alimentation forcée, constitue un traitement cruel, inhumain et dégradant, ce qui en fait un crime de guerre. L'ordre donné par le lieutenant Ratray semble en violation des Conventions de Genève. Conclusion : La responsabilité pénale du lieutenant Ratray pour ce crime de guerre est fondée. 6. Enlèvement de Vladimir l'Empaleur Analyse : L’enlèvement de Vladimir Impaler par les autorités de Stoker, sans l’accord de l'État de Shelly, constitue une violation de la souveraineté de cet État. Cependant, en raison de la menace imminente de la "bombe sale", l'ampleur du danger et l'importance de prévenir une catastrophe peuvent justifier certaines actions dans un cadre de lutte contre le terrorisme, bien que cela puisse aussi être critiqué. Conclusion : L'affirmation de la Chambre concernant l'enlèvement d'Impaler semble discutable en fonction de la souveraineté, mais en regard de la menace à venir, l'infraction peut être justifiée au regard de la nécessité. 7. Auto-représentation et droit à la défense Analyse : Le droit à l'auto-représentation doit être équilibré par le besoin de maintenir l'ordre et la procédure. Si un accusé perturbe le procès, la Cour a le droit de limiter son comportement et de lui désigner un avocat d'office. Cela semble être une mesure proportionnée pour assurer un procès équitable. Conclusion : La décision de la Chambre de révoquer l'auto-représentation d'Impaler semble justifiée. 8. Admissibilité de l'enregistrement audio Analyse : L'enregistrement audio a été obtenu sous la contrainte de méthodes de torture (waterboarding), ce qui soulève des préoccupations concernant sa légalité et sa conformité avec les droits humains. Toutefois, l'utilisation d'une telle preuve, si elle est essentielle pour prouver les faits, pourrait être justifiée dans des situations exceptionnelles, mais le principe de non-admissibilité des preuves obtenues par la torture devrait en théorie prévaloir. Conclusion : L’admission de l’enregistrement pourrait être problématique d’un point de vue éthique et légal. 9. Accord de plaidoyer de Murray Analyse : L'accord de plaidoyer, si correctement encadré et dans le respect des règles de la CPI, peut être une stratégie légitime pour encourager la coopération avec la justice. La réduction de peine en échange de témoignages est souvent utilisée pour permettre une meilleure administration de la justice, bien qu’elle puisse être vue comme une forme de "complot". Conclusion : La confirmation de l’accord de plaidoyer semble conforme à la pratique judiciaire internationale. Conclusion générale : L'affaire traite de plusieurs questions cruciales du droit international pénal, de la responsabilité des individus dans des crimes graves, et de la manière dont la CPI applique les normes en matière de droits humains et de justice. Dans l’ensemble, la Cour semble avoir pris des décisions justifiées sur le plan du droit international, même si certains aspects, notamment l’enlèvement et l’admissibilité de preuves obtenues sous la torture, soulèvent des préoccupations. L’introduction au droit est une discipline fondamentale qui permet de comprendre les bases du système juridique, ses principes, ses règles, et son rôle dans la société. Elle sert de point de départ pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances en droit et s’engager dans des études juridiques plus avancées. Voici un aperçu des concepts clés à aborder dans une introduction au droit : 1. Qu’est-ce que le droit ? Le droit peut être défini comme l’ensemble des règles et des normes qui régissent la vie en société. Ces règles sont établies par des autorités compétentes (comme les législateurs ou les tribunaux) et ont pour objectif de garantir l’ordre, la justice et la protection des individus. Le droit touche tous les aspects de la vie sociale, économique et politique, en régissant notamment les relations entre individus, entre individus et l'État, ainsi que celles entre les États. 2. Les sources du droit Les sources du droit sont les mécanismes par lesquels les règles juridiques sont créées, modifiées ou abrogées. Les principales sources du droit sont : La Constitution : La norme suprême d’un pays, qui fixe l’organisation de l’État, les droits et libertés fondamentaux. Les lois : Ce sont des règles écrites adoptées par le législateur (parlement). Elles sont souvent complétées par des règlements, décrets ou ordonnances. La jurisprudence : Les décisions rendues par les tribunaux, qui interprètent et appliquent les lois dans des cas concrets. La coutume : Les pratiques et usages sociaux qui, par leur répétition, finissent par acquérir une force obligatoire. Les traités internationaux : Accords entre États qui ont force obligatoire, comme les conventions ou accords internationaux. 3. Les branches du droit Le droit est divisé en plusieurs branches, chacune régissant un domaine particulier. Parmi les principales branches du droit, on trouve : Le droit civil : Régit les relations entre particuliers, notamment les contrats, les biens, la famille, et les successions. Le droit pénal : Traite des infractions et des peines, en définissant les comportements criminels et les sanctions correspondantes. Le droit administratif : Organise les relations entre l’État et les citoyens ainsi que l’action des administrations publiques. Le droit constitutionnel : Étudie les principes fondamentaux de l’organisation politique d’un État et les droits et libertés des citoyens. Le droit international : Traite des relations juridiques entre les États et autres entités internationales, telles que les organisations internationales. Le droit commercial : Régit les relations juridiques liées aux activités commerciales et aux entreprises. 4. Les principes du droit Le droit repose sur un certain nombre de principes fondamentaux qui en assurent l’application juste et équitable. Parmi ces principes, on peut citer : La légalité : Les actions des individus doivent être conformes à la loi. L’égalité devant la loi : Tous les individus, qu’ils soient citoyens ou étrangers, doivent être traités de manière égale devant la loi. La non-rétroactivité de la loi : Une loi ne peut pas s’appliquer à des faits commis avant son adoption, sauf si elle est plus favorable à l’individu. La présomption d’innocence : Toute personne accusée d’un crime est présumée innocente tant qu’elle n’a pas été prouvée coupable. 5. Les acteurs du droit Plusieurs acteurs jouent un rôle important dans l’application et l’interprétation du droit : Les législateurs : Les parlementaires ou autres autorités compétentes qui créent les lois. Les juges : Ils interprètent et appliquent les lois aux affaires qui leur sont soumises. Les avocats : Ils conseillent et représentent les parties en conflit devant les juridictions compétentes. Les policiers et les gendarmes : Ils sont chargés de faire respecter la loi en assurant la sécurité publique et en intervenant lors de la commission d’infractions. 6. La procédure judiciaire La procédure judiciaire désigne l’ensemble des règles qui régissent la manière dont une affaire est traitée devant une juridiction. Cette procédure varie selon le type de litige (civil, pénal, administratif, etc.), mais suit généralement un cadre structuré : La plainte ou la demande : Une personne engage une action en justice. L’instruction : Les preuves sont collectées, les témoignages sont entendus. Le jugement : Les juges rendent une décision en fonction des faits et des règles de droit. Les voies de recours : Les parties peuvent contester le jugement rendu en faisant appel ou en introduisant un pourvoi. 7. L'importance du droit dans la société Le droit est essentiel à la cohésion sociale. Il assure la protection des droits individuels et collectifs, garantit la sécurité juridique, régule les relations économiques et sociales, et permet de résoudre les conflits pacifiquement. Sans le droit, il serait difficile de maintenir l'ordre social et d’assurer la justice pour tous. Conclusion L’introduction au droit nous permet de comprendre que le droit est un pilier fondamental de toute société organisée. Il assure la régulation des relations humaines, protège les libertés individuelles et collectives et permet la résolution des conflits. À travers l’étude du droit, on apprend à comprendre et à appliquer les règles qui régissent la vie en société. Pour toute personne intéressée par le domaine juridique, il s’agit d’une première étape cruciale dans la compréhension du fonctionnement des institutions et de la justice.

against them because under international law they have to have the ability to conduct Foreign relations, to travel freely around the world. And if they're worried that they'll be apprehended by various countries that have arrest warrants out for them, they won't be able to do their job. So the International Court of Justice says, even if you are accused of the worst crimes imaginable, crimes against humanity, you get head of state immunity in a domestic proceding. But the court in dicta, which means that wasn't part of their holding but it was something they said as well, when on to say that after Nuremberg, anybody who's being prosecuted by an international tribunal like the Yugoslavia tribunal, and the 

I come from a non-law background but have participated in Model United Nations forums and other debates, so I've always held interest in this field. Dr. Scharf does an excellent job in covering the key points in an interesting manner, introducing plenty of case studies for reference. I did a fair amount of Googling to understand some of the Latin terms better and uncover more details about a particular case that piqued my interest. Having said that, I'd like to sincerely thank Dr. Scharf and his team for giving me a taste of what international criminal law really entails.

A very good course that provides a thorough knowledge of International Criminal Law, the activities of the International Criminal Court and tribunals. Step by step tells about the history of occurrence, reasons that give a general understanding of the main purpose of such formations. In addition, the main crimes are dealt with which are considered in such courts and tribunals. The procedure itself for considering the case and the obstacles that may arise, as well as ways of solving them, are described in great detail.

I liked the course very much, I recommend it!

This course is well-designed. However, as International Criminal Law includes, for example, genocide, war crime, crimes against humanity etc. and all of which have different criteria to determine the crime, I hope Prof. Michael Scharf can consider preparing a table, tabulating essential criteria for each crime to help students to refer to it. Well, the chart on the last page of Module 2 is helpful but can be expanded a little more to incorporate the criteria.

Prof. Michael Scharf, thank you for conducting this course. I learnt a lot from this course.

I have only the words of praise for this course. The syllabus was brought up very well, roughly covering the most important and contemporary challenging topics of international criminal law. I haw privileged to follow the video lectures of one of the leading experts on international criminal law world-wide, prof. Michael Scharf. Passionately advocating for justice, peace and security of all humankind, I do hope that by further development of international criminal law the world will get closer to the aforementioned ideals.

As a lawyer myself, I think this course finds a good balance of information for both non-lawyers and lawyers; there are more technical aspects that I found really useful, such as constant references to ICTY, ICC and other Tribunals' cases. Sometimes I felt the course focused too much on US perspective, but still it was quite interesting. Definitely, Professor Scharf is extremely knowledgable and had lots of experience and stories to share, which I found as one of the most pleasant parts of the class. Thank you!!

The course was fantastic, the lectures were clear and interesting.

The lecturer explained each concept while providing real examples which added to the value of this course.

Overall i had a great time and learned a lot. Coming from Israel this course is actually relevant for me to understand the ICC and its procedures as well as basic terms and definitions.

Thank you very much Prof. Sharf, I'm looking forward to more courses from you.

-Sagi Z.

Saying that this course is interesting could be unfair. This course is EXTREMELY interesting! I'm not fluent in English but I understand almost everything. The classes are well prepared and professor Sharf looks like a really nice person. It's so developing to listen to a person who is such an expert in this area! I truly recommend this course to all lawyers, law students, and anyone who's interesting in this topic!

Un curso bastante ameno, el docente maneja de forma magistral el tema y se imparten las clases con base en casos reales y con simulaciones de situaciones verídicas, desafortunadamente el derecho penal internacional ha surgido con base en lo peor del ser humano, pero es bueno saber que se cuentan con mecanismos eficaces para impartir justicia contra los respondables de crímenes contra la humanidad. excelente curso!